Le porte-parole du Parti socialiste Abdoulaye Wilane a évoqué une liberté conditionnelle pour Guy Marius Sagna lors de son face-à-face avec le journaliste Mamoudou Ibra Kane. Mais selon lui, l’activiste doit reconnaître qu’il a fauté en allant « défier la sécurité du Palais »
« En marchant devant les grilles présidentielles, Guy Marius Sagna a violé la loi. Tous ceux qui le défendent, doivent reconnaître qu’il a fauté gravement. Il a été même un provocateur insolent. Comment il peut se permettre d’aller provoquer la sécurité de la Présidence ? Ce n’est pas responsable », dit-il.
Cependant, Abdoulaye Wilane est convaincu que la justice n’a aucun intérêt à maintenir Guy Marius en détention, si ce dernier fait son mea-culpa. « Humainement et au nom des valeurs socialistes, j’ai toujours du mal quand quelqu’un est privé de liberté. Même si par ailleurs, c’est à la suite d’une violation de la loi. C’est une position de principe que je porte et que j’assume », affirme le maire de Kaffrine.
Avant de reprendre cette assertion du Président Senghor : « Les lois et règlements sont sacrés dans leur contenu, mais puisqu’ils s’appliquent aux hommes, il faut les humaniser »
« En marchant devant les grilles présidentielles, Guy Marius Sagna a violé la loi. Tous ceux qui le défendent, doivent reconnaître qu’il a fauté gravement. Il a été même un provocateur insolent. Comment il peut se permettre d’aller provoquer la sécurité de la Présidence ? Ce n’est pas responsable », dit-il.
Cependant, Abdoulaye Wilane est convaincu que la justice n’a aucun intérêt à maintenir Guy Marius en détention, si ce dernier fait son mea-culpa. « Humainement et au nom des valeurs socialistes, j’ai toujours du mal quand quelqu’un est privé de liberté. Même si par ailleurs, c’est à la suite d’une violation de la loi. C’est une position de principe que je porte et que j’assume », affirme le maire de Kaffrine.
Avant de reprendre cette assertion du Président Senghor : « Les lois et règlements sont sacrés dans leur contenu, mais puisqu’ils s’appliquent aux hommes, il faut les humaniser »